Le vagabond de Tokyo fait partie de ces livres qui, sorties dans les années 80/90 au Japon font leur apparition une quinzaine d’année plus tard dans nos bonnes contrées occidentales, à l’initiative d’éditeurs plus ou moins underground ou en mal d’exploitation commerciale.
Ce livre se compose d’une série d’histoires érotico-comico-éthyliques au court desquelles le personnage principal tente par tous les moyens, de ne pas travailler, de sortir avec des filles et de trouver de l’alcool. Préoccupations adolescente majeures, Le vagabond de Tokyo est et reste un recueil de situations plus ou moins avouables à l’humour particulier et à la forme plutôt classique.
Alors chers vagabonds et chère vagabonde, avez-vous adhéré à ces pérégrinations subtiles d’ado attardés ou bien êtes vous resté rigides face aux aventures masculines de ce héros extrême-orientale ?
Sfar possède cette capacité unique de produire une masse quasi ininterrompues de dessins, commentaires, livres et bientôt film. L’ancien temps sorti chez Gallimard au mois de novembre s’inscrit parfaitement dans cette démarche productrice voir productiviste.
Cette foisonnante histoire qui raconte la fuite et le mensonge d’une fée face aux avances d’un jeune apprenti sourcier, rassemble dans ses pages, un ogre, une licorne, des trolls, un roi qui va mourir, un loup-garou un peu démiurge bref, toute une palanquée de créatures qui vont servir une histoire riche et aux rebondissements nombreux.
Alors chère princesse, chers trolls faut-il selon vous laissez Sfar faire son second tome ou bien ce premier opus est il déjà de trop et vaut il mieux laisser les temps anciens aux oubliettes ?
Georges Sprott est un affable petit bonhomme, présentateur d’une obscure émission de télévision au sein d’une chaîne ayant connue son heure de gloire des années auparavant. Ce livre, particulièrement imposant en surface, raconte pourtant deux choses profondes : le temps qui passe et l’image qu’un homme c’est construite tout au long de sa vie, le tout en s’appuyant sur le jour de sa mort comme moment clef.
Alors chers présentateurs et chère présentatrice, avez-vous cette fois adhéré à ce livre de Seth ou bien êtes vous resté sceptique vis à vis de cette histoire ?
Jean-Claude Carrière, célèbre romancier, dramaturge, comédien, scénariste de cinéma et Bernard Yslaire auteur de bande dessinée connu notamment pour sa série Sambre, sont rassemblés aujourd’hui par les éditions Futuropolis pour nous présenter un livre au fort goût de romantisme. Pour poser les grandes lignes du cadre sachez que cette histoire débute en 1793 et que l’on va retrouver tout au long des pages deux figures majeures de l’époque : Robespierre qui incarne la révolution et le peintre Jacques Louis David dont la mission va être de réaliser, un tableau incarnant ce moment de l’histoire française.
Alors chers sans culottes, pensez vous que vous avez lu là une œuvre révolutionnaire ou bien au contraire le ciel au dessus du Louvre vous a t il plombé et participerez vous dés lors à écourter la carrière de ce livre ?
Le samouraï bambou de Matsumoto est une série qui devrait se décliner en 7 volumes et dont nous est parvenu en France, la première édition au mois d’Octobre. Le forfait est à mettre sur le compte des éditions Kana qui nous présente donc ici l’histoire d’un samouraï sans maître, un Ronin pour les connaisseurs, qui va s’installer dans la bonne ville de Tokyo afin de tenter d’y vivre paisiblement. Malheureusement la violence n’épargne personne et le samouraï va être obligé de faire usage de son art pour écarter une bande de malfaisants personnages.
Mais à la suite de son intervention musclée et sanglante il va donner son sabre à un prêteur sur gage de façon à ne plus pouvoir s’en servir et va surtout se munir d’un nouveau sabre en bambou.
Voilà pour les grands traits de cette histoire. Mais les orientalistes que vous êtes chers chroniqueurs ne vont pas manquer de nous donner leur avis tranchés sur cet épisode afin de s’avoir si nous devons laisser le bambou là ou au contraire nous inspirer des aventures de ce bon bougre ?
Flood ! est le livre d’un américain cinquantenaire qui outre la bande dessinée, sévit dans les pages du New Yorker, du New York Times et sur les murs de la célèbre Big Appel. C’est donc tout naturellement qu’il a planté le décor de cette histoire en trois chapitres rassemblés dans cet ouvrage. Alors que raconte Flood ?
Cette histoire sans, ou du moins avec très peu, de paroles, a pour fil conducteur la ville de New York donc, dans laquelle hère un homme longiligne et seul. Peuplé de symboles, l’épopée de cette homme incarné par le graphisme très personnel de l’auteur se déroule dans un climat humide et sombre.
Alors chers chroniqueurs avez vous été inondé de bonheur par l’histoire déversé tout au long de ces pages ou bien au contraire vous êtes vous noyé dans les flots impétueux de cette histoire silencieuse ?
Ce livre se compose d’une série d’histoires érotico-comico-éthyliques au court desquelles le personnage principal tente par tous les moyens, de ne pas travailler, de sortir avec des filles et de trouver de l’alcool. Préoccupations adolescente majeures, Le vagabond de Tokyo est et reste un recueil de situations plus ou moins avouables à l’humour particulier et à la forme plutôt classique.
Alors chers vagabonds et chère vagabonde, avez-vous adhéré à ces pérégrinations subtiles d’ado attardés ou bien êtes vous resté rigides face aux aventures masculines de ce héros extrême-orientale ?
Sfar possède cette capacité unique de produire une masse quasi ininterrompues de dessins, commentaires, livres et bientôt film. L’ancien temps sorti chez Gallimard au mois de novembre s’inscrit parfaitement dans cette démarche productrice voir productiviste.
Cette foisonnante histoire qui raconte la fuite et le mensonge d’une fée face aux avances d’un jeune apprenti sourcier, rassemble dans ses pages, un ogre, une licorne, des trolls, un roi qui va mourir, un loup-garou un peu démiurge bref, toute une palanquée de créatures qui vont servir une histoire riche et aux rebondissements nombreux.
Alors chère princesse, chers trolls faut-il selon vous laissez Sfar faire son second tome ou bien ce premier opus est il déjà de trop et vaut il mieux laisser les temps anciens aux oubliettes ?
Georges Sprott est un affable petit bonhomme, présentateur d’une obscure émission de télévision au sein d’une chaîne ayant connue son heure de gloire des années auparavant. Ce livre, particulièrement imposant en surface, raconte pourtant deux choses profondes : le temps qui passe et l’image qu’un homme c’est construite tout au long de sa vie, le tout en s’appuyant sur le jour de sa mort comme moment clef.
Alors chers présentateurs et chère présentatrice, avez-vous cette fois adhéré à ce livre de Seth ou bien êtes vous resté sceptique vis à vis de cette histoire ?
Jean-Claude Carrière, célèbre romancier, dramaturge, comédien, scénariste de cinéma et Bernard Yslaire auteur de bande dessinée connu notamment pour sa série Sambre, sont rassemblés aujourd’hui par les éditions Futuropolis pour nous présenter un livre au fort goût de romantisme. Pour poser les grandes lignes du cadre sachez que cette histoire débute en 1793 et que l’on va retrouver tout au long des pages deux figures majeures de l’époque : Robespierre qui incarne la révolution et le peintre Jacques Louis David dont la mission va être de réaliser, un tableau incarnant ce moment de l’histoire française.
Alors chers sans culottes, pensez vous que vous avez lu là une œuvre révolutionnaire ou bien au contraire le ciel au dessus du Louvre vous a t il plombé et participerez vous dés lors à écourter la carrière de ce livre ?
Le samouraï bambou de Matsumoto est une série qui devrait se décliner en 7 volumes et dont nous est parvenu en France, la première édition au mois d’Octobre. Le forfait est à mettre sur le compte des éditions Kana qui nous présente donc ici l’histoire d’un samouraï sans maître, un Ronin pour les connaisseurs, qui va s’installer dans la bonne ville de Tokyo afin de tenter d’y vivre paisiblement. Malheureusement la violence n’épargne personne et le samouraï va être obligé de faire usage de son art pour écarter une bande de malfaisants personnages.
Mais à la suite de son intervention musclée et sanglante il va donner son sabre à un prêteur sur gage de façon à ne plus pouvoir s’en servir et va surtout se munir d’un nouveau sabre en bambou.
Voilà pour les grands traits de cette histoire. Mais les orientalistes que vous êtes chers chroniqueurs ne vont pas manquer de nous donner leur avis tranchés sur cet épisode afin de s’avoir si nous devons laisser le bambou là ou au contraire nous inspirer des aventures de ce bon bougre ?
Flood ! est le livre d’un américain cinquantenaire qui outre la bande dessinée, sévit dans les pages du New Yorker, du New York Times et sur les murs de la célèbre Big Appel. C’est donc tout naturellement qu’il a planté le décor de cette histoire en trois chapitres rassemblés dans cet ouvrage. Alors que raconte Flood ?
Cette histoire sans, ou du moins avec très peu, de paroles, a pour fil conducteur la ville de New York donc, dans laquelle hère un homme longiligne et seul. Peuplé de symboles, l’épopée de cette homme incarné par le graphisme très personnel de l’auteur se déroule dans un climat humide et sombre.
Alors chers chroniqueurs avez vous été inondé de bonheur par l’histoire déversé tout au long de ces pages ou bien au contraire vous êtes vous noyé dans les flots impétueux de cette histoire silencieuse ?
4 commentaires:
D'accord tout ça...
Mais qu'en on pensé les gens ??
bah oui c' est vrai ça !
qu' est ce qui pense les gens ?
hein Herbert , dis nous tout !!!
ça vient ça vient. Les rédacteurs s'activent en cuisine et ça devrait tomber bientôt...
Quoi qu'ils en ont pensé, les gens ?
On aurait pu croire que peu de monde (a fait froid sur Marseille) signifierait une belle unanimité... Et bien ce n'est pas vrai. Sauf pour le Ciel au dessus du Louvre. Il faut dire que les zauteurs ont mis un bel enthousiasme à saboter la BD... Ajoutons à ça une très légère overdose de Sfar (plein de bonnes intentions, mais ça suffit pas toujours), un vagabond tokyoïte temporellement bien marqué (sympa oui-mais-bon...), un flood marqué du sceau d'un respect parfois mêlé d'une incompréhension à la limite métaphysique et un samouraï bambou positif mais complètement paumé et on obtient des échanges bien animés, et pour une fois, pas trop unanimes :)
Ah, oui, il y a aussi Georges Sprott... Tout le monde aime sans limites, c'est LA bd de la soirée. Sur ce point, je fais confiance aux chroniqueurs, à défaut de plussoyer...
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