Les plans de la ville
Fournier
Ed Cambourakis
Le groom vert-de-gris
Schwartz / Yann
Ed Dupuis
La véritable histoire de John Dillinger ennemi public n°1
Mislov / Guitard
Ed Denoël Graphic
Le roi des fleuves
Neri
Ed Atrabile
Juju, Mimi, Féfé, Chacha
Vivès / De Raphaélis
Ed Ankama
Bonjour à toutes bonjour à tous,
Voici donc venu le temps des examens, des révisions, des bilans, des évaluations à mi-parcours et autres réjouissances comptables que le mois de juin impose mais voici surtout venu le temps du dernier Raging Bulles de l'année (Youpiiii). Comme vous pouvez le remarquer il manque un titre à la sélection. Rassurez vous, celui-ci viendra s'ajouter tranquillement la semaine prochaine si tout se passe bien.
A part ça pour toutes les nouvelles concernants les Raging Bulles de l'année prochaine (j'ai bien dit les) toutes les innovations futures, les changements incroyables, les refondements fondamentaux et autres bilans stupéfiants à tirer de ces deux magnifiques, génialissimes et superbes années passées ensemble, soyez patients, tout ça fera l'ojet d'un prochain post.
D'ici là bonne lecture. Continuez d'innonder le blog de vos remarques pertinantes et de vos avis si perspicaces et rendez vous le 25 juin salle de la cheminée à l'Utopia vers 20h pour l'ultime passe d'arme de cette session 2008-2009.
Voici donc venu le temps des examens, des révisions, des bilans, des évaluations à mi-parcours et autres réjouissances comptables que le mois de juin impose mais voici surtout venu le temps du dernier Raging Bulles de l'année (Youpiiii). Comme vous pouvez le remarquer il manque un titre à la sélection. Rassurez vous, celui-ci viendra s'ajouter tranquillement la semaine prochaine si tout se passe bien.
A part ça pour toutes les nouvelles concernants les Raging Bulles de l'année prochaine (j'ai bien dit les) toutes les innovations futures, les changements incroyables, les refondements fondamentaux et autres bilans stupéfiants à tirer de ces deux magnifiques, génialissimes et superbes années passées ensemble, soyez patients, tout ça fera l'ojet d'un prochain post.
D'ici là bonne lecture. Continuez d'innonder le blog de vos remarques pertinantes et de vos avis si perspicaces et rendez vous le 25 juin salle de la cheminée à l'Utopia vers 20h pour l'ultime passe d'arme de cette session 2008-2009.
2 commentaires:
Sentirions nous ici comme une pointe d'ironie ??
Mais effectivement... on s'y sent un peu seul (faudrait un lien du blog de l'asso 9-33 vers le tien... parce que franchement, facebook n'est pas, vraiment pas un lieu ouvert vers le monde, au contraire d'un blog, qui est bien un lieu d'échange)
Il est étonnant de voir qu'aucune BD de bordelais ne soit chroniquée... par peur de critiquer les copains ? (ou parce qu'il est impossible de critiquer les copains ?).
"Le landais volant" vient juste de paraitre... Z'en pensent quoi les chroniqueurs ??
Salut Alan,
Non non pas vraiment d'ironie. Mais j'aime bien employer ce ton joyeux et faussement emporté quand il s'agit de présenter des choses qui somme toute, font un bruit relativement limité. C'est donc plus de l'humour débile que de l'ironie.
Pour la multiplication des liens je pense que tu as raison, c'est le meilleur moyen d'attirer du monde, mais bon, pour l'instant ça se fait plutôt doucement.
Pour la non critique bordelaise, il y a bien sûr, une volonté de notre part de ne pas, pour l'instant, en faire. Plusieurs raisons à cela :
D'abord, c'est évident qu'il est difficile de critiquer un copain face à un public.
En privé on peut lui dire ce qu'on pense ; face à d'autres, l'exercice s'avère moins simple.
Il y a donc une question de confort diplomatique et personnel dans cette affaire. Mais pas seulement. Car la critique n'est pas uniquement l'art d'argumenter pour dire du mal. Faire l'éloge d'un pote, qui plus est face à un public, là aussi, l'exerecice peut s'avérer périlleux et l'on peut vite se retrouver dans la position de celui qui pratique le copinage éhonté et la promotion volontaire "des auteurs qui sont des copains des critiques".
Comme on ne savait pas trop sur quel pied danser jusque là, on a esquiver le problème en faisant le choix assumé de ne pas parler des auteurs bordelais. Cela va t il durer ? On verra.
Voilà voilà.
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